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Alésia Retrouvé

Alésia Retrouvé la Bataille Continue

Qui dit gaulois dit Alésia! Qui dit Alésia dit Serpent de Mer ou Monstre du Loch-Ness! Toujours aperçue, mais jamais découverte avec certitude, un jour dans le Jura, le lendemain dans le Doubs. Aperçue en Bourgogne, du côté de Guillon mais certifiée à Alise-Sainte-Reine par la gent scientifique, politico-scientifique devrais-je dire, appuyée par des écrits très nombreux signés par de grand noms, à commencer par l'empereur Napoléon III.

Où il y a de la polémique, il y a un intérêt pour moi! J'étais loin de penser que j'allais découvrir une escroquerie d'une telle envergure. Pour vous faire découvrir les lieux qui ressemblent le plus à Alésia, j'ai choisi de rédiger un ouvrage qui vous permettra de voyager sur les lieux même de l'action où se trouvent encore des traces de vies qui prennent naissance dans la nuit des temps.

En lisant cet ouvrage vous boufferez du Gaulois, de la pierre et des kilomètres de randonnées.

Alors, bienvenue au pays de nos ancêtres, où règne la magouille!

Bienvenue au Pays du Mensonge National !!

Quelques extraits de mon livre: Alésia Retrouvé La Bataille Continue.

Pages 14-15-16-17

Une erreur qui deviendra un mensonge!

C'est en 841-847, que l'on commence à parler de César dans l'Yonne, on le doit à l'Abbé de Ferrières en Gâtinais, Loup, frère de l'évêque d'Auxerre Heribaldus. C'est à Fulda que celui-ci a connu le Bellum Galliocum. Le moine Héri de l'Abbaye de saint-Germain-d'Auxerre fut l'un des élèves de Loup de Ferrières. Par son intermédiaire, il eut en main le texte de César et l'avait copié. Ensuite, c'est au cours d'un séjour à Flavigny qu'il identifia Alésia avec le Mont Auxois, à Alise-Sainte-Reine. Les moines de Moutiers-Saint-Jean et de Notre-Dame-de-Semur, ont adopté la version auxerroise qui consiste à penser qu'Alise a succédé à Alésia, probablement renforcé par le lieu martyre de la gamine (Sainte-Reine).

Au livre VII de la Guerre des Gaules, chapitre 68 à 90, Jules César décrit le siège d'Alésia, de fin juillet au début septembre de l'an 52 avant JC.

Deux mois pour détruire le symbole qu'était Alésia c'est très peu, surtout quand on pense qu'environ 5OO OOO personnes furent concernés. En détruisant cette ville, César détruisait en même temps une culture et allait en imposer une autre.

C'est depuis Napoléon III et au vu des résultats des fouilles de 1991 à 1997, dirigées par un dénommé Michel Reddé, que la localisation du siège est décrétée de façon ferme et définitive à Alise-Sainte-Reine sur le Mont Auxois en Côte d'Or, où depuis 140 ans,on recherche vainement les traces de la bataille de cavalerie qui l'a précédé, mais le plus amusant est à venir!

Michel Reddé fait la déclaration suivante le 11 mai 1996, aux journées archéologiques de Bourgogne Franche Comté, à la faculté des sciences de Dijon: " La dernière campagne de fouilles actuellement en cours confirme la localisation de ce siège autour du MOnt Auxois, bien que les structures découvertes ne correspondent pas aux descriptions de César, ce qui semblerait attester que César n'était pas très précis dans ses descriptions, raison pour laquelle, les archéologues disent que les fouilles archéologiques redressent les erreurs de descriptions de César."

Et c'est de cette façon là que de "petits" archéologues réécrivent l'histoire en lui faisant dire ce qu'il ont envie qu'elle dise! Bravo messieurs, c'est bien d'être aussi objectif!!

C'est d'après des fouilles aussi peu convainquantes, car complètement dirigées vers une seule possibilité que l'on a défini, une fois pour toutes,de l'emplacement d'Alésia. Après on s'étonnera qu'on ne les croie pas et que du coup on pense avoir retrouvé Alésia, du côté de Alaise, Salin-les Bains, Novalaise, Isernore, Chaux-des-Crotenay. A chaque fois, il est vrai, que l'on retrouve une partie des descriptions de César, mais jamais dans sa totalité, jamais, faux!!

Un site correspond pourtant, il sagit du Montfault. Je ne suis pas l'inventeur de ce site, je ne fais que travailler sur des recherches faites par un homme passionné d'histoire et de vérité. j'espère que vous le comprendrez, vous qui lirez ces lignes,que vous accepterez qu'un homme puisse être objectif et sincère, en écrivant ce livre, je n'ai franchement rien à y gagner, sinon de passer pour un farfelu de plus à la recherche d'un mythe!

Si Alise Sainte-Reine ne peut pas être Alésia, les archéologues ne sont tout de même pas complètement fous, les fouilles ont bien donné des résultats et livré des secrets, car au pied du Mont Auxois, deux événements s'y sont déroulés et y ont laissé des traces.

Fin juillet 52 avant notre ère, le long de la vallée de l'Oze, c'est à dire au nord et à l'est du Mont Auxois, en ces lieux, c'est déroulé la bataille de cavalerie qui précède le siège et qui retiendra César (César VII / 66. 67. 68. page 304, 305,306)

Hiver 197 après JC, nous sommes en février, le siège fait par Septime Severe contre les Gaulois ayant pris fait et cause pour l'empereur Clodius Albinus, il est possible que ceux-ci se soient fait la belle par le Mont Pennevelle, après avoir un petit peu brûlé la ville d'Alisiia, le Severe qui mérite bien son nom, interdira de reconstruire la ville pendant les 25 ans qui suivront. Pour les historiens et les archéologues, Alésia étant situé sur le Mont Auxois, ont décrété donc que la Mandubie se trouvait au pourtour de la ville, sans se casser la tête et surtout se fatiguer les jambes à rechercher des traces des vestiges pouvant confirmer leurs dires, que se soient vestiges de défense ou par la toponymie, vu que le César écrit, Livre VII-68

     " après cette déroute de toute sa cavalerie, Vercingétorix qui avait disposé ses troupes en avant de son camp, les mit en retraite incontinent et prit la route d'Alésia, ville des Mandubiens."                  guillon2-001.jpgMur de l'oppidum du Montfault, 5m de large, 2m de haut. Le parement extérieur est en talus comme les enceintes mycéniennes. Construit vers 1238 avant JC. Il y a 12 km de muraille autour de l'oppidum, de 2 à 10 mètres de haut et de 2 à 8 mètres de large.

L'Abbé Alexandre Parat, historien archéologue de l'Avallonnais recommanda, en 1907, de faire des relevés des murs gaulois de Bourgogne et que, pour en comprendre l'origine, il étaitt nécessaire de les reporter sur une carte à grande échelle, ce qui fut fait par plus de 450 personnes pour l'association portant le nom de l'Abbé en 1983. Ils relevèrent ainsi plus de 1400 km de murs frontières gaulois, ce qui permit de constater que tous les 2,200 km (la lieue gauloise) existent les traces d'un village fortifié avec aménagement de source et présences de sépultures (tumulis). Bravo, car on a fait là un vrai travail de fourmis ce qui a permis de tracer sur un plan les murs frontières, Mandubiens et Lingons, et de découvrir que Alise-Sainte-Reine se trouve pratiquement à la frontière.

De plus différents historiens l'écrivent, Ernest Petit de Châtel-Gérard, en 1867 mentionne que d'après des titres du XIIème siècle que l'Isle-sur-Serein (qui se trouve à plus de 40 km de Alise) se dénommait encore " Insula Mandubiorum" et " Insula in Mandubiis". preuve incontournable que cette île était du temps des gaulois en Mandubie.

En 1520, Jean Macer, professeur en droit canon, né à Santigny rédige un petit livre intitulé: "Panegyricus de Laudibus Mandubiorum", il y situe: Sauvigny, Pisy, La Roche-en-Brenil et Charny (Côte d'Or) comme étant en Mandubie.

En 1820, Claude Charle Goureaud de Santigny, dans une publication de la société savante d'Avallon, précise que le Bornant, cours d'eau situé entre Bierry et Aisy, servait de frontière entre les Lingons et les Mandubiens.

En 1211, Guy de Montréal fait don, aux religieux de Notre Dame de Saumur de maisons situées sur la commune de Guillon ainsi qu'une île fermée par le serein. Le prieuré s'accrut considérablement avec le temps, on le sait par un document du 3 août 1790.

Les religieux ayant eu connaissance du texte de César, furent frappés de trouver sur leurs terres de nombreux vestiges témoignant d'une place fortifiée très importante ayant subie un siège, visible par des fossés dont les traces sont encore existantes 2000 ans après (à Courterolles).guillon-alesia-016-1.jpgCourterolles aujourd'hui.

C'est après avoir avisé le Duc de Bourgogne, que celui-ci achète les terres de Guillon en 1305. Entre 1305 et 1315, le Serein qui se dénommait Sedenna (la rivière du siège) fut dénommé sur la commune de Guillon et Montréal. "Sellettes" (sièges) peut-être en association avec le siège d'Alésia, un texte l'affirme, il est de Jean Froissart (1333-1400), dans ses chroniques, il relate le passage d'Edouard III d'Angleterre du côté de Montréal: " et vint le roi et tout son ost à gîte à une ville qu'on appelait Montréal, sur une rivière qu'on dit "Sellettes", et quand le roi s'en partit, il monta cette rivière et s'en vint loger à Guillon sur Sellettes" (Traité de Guillon 10 mars 1360).                                                                 guillon2-006-2.jpgCésar72/3: Il creusa deux fossés larges de quinze pieds et chacun de profondeur égale; il remplit le fossé intérieur, dans les parties qui étaient plaines et basses, d'eau qu'il dériva de la rivière. Il sagit du fossé creusé par les romains (circonvallation), l'eau y coule depuis plus de 2000 ans. Rien de pareil à Alise ou dans le Jura

Le 4 mai 1996, lors des journées archéologiques de Bourgogne, à la faculté des sciences de Dijon, les archéologues qui ont participé aux fouilles, entre les années 1991 et 1995, ont tous précisé qu'il n'ont pas trouvé d'habitat gaulois sur le Mont Auxois antérieur à 70 avant JC. ........................................

scorpion-et-petite-porte-002.jpgUne des nombreuses petites portes dans l'enceinte extérieure au sud du Montfault. Ce mur est daté par les spécialistes du Vème siècle avant JC. César VII-70/3: "L'appui des légions donne du coeur à nos combattants; les ennemis sont mis en déroute; leur nombre les gêne, et comme on a laissé des portes trop étroites, ils s'y écrasent" Ils n'y en a aucune à Alise-Sainte-Reine !!

Pages 24-25-26-27

Où l'ignoble rejoint l'absurde et l'intolérable!!

Année 1967, les bulldozers sont entrés en action sur la Montagne de Verre, située à l'ouest de Montfault, sur laquelle se trouvait des tumulus en grands nombres et cités plus avant par Philippe Salmon (1877) faisant environ un mètre de haut. Ces tumulus sont connus des chasseurs septuagénaires. Dans leurs souvenirs, ils faisaient au maximum 1,40m de haut. M.Fèvre m'a raconté que les conducteurs de bulldozers étaient conscients de détruire du sérieux et l'avaient évoqué avec le patron de l'hotel où il séjournait. Tout a été rasé, laminé, détruit!

           On disait que l'herbe ne repousserait pas derrière Attila, derrière les bulldozers non plus! çà, tu peux me croire, c'est une véritable image d'Apocalypse, vision lunaire que tu as là-bas!!

Je m'y suis promené en compagnie de Monsieur Fèvre puis retourné seul. Je peux te dire que l'on a gratté profond, travail de pro. AH! La canaille que voilà!

Tout cela soi-disant pour ouvrir une carrière (carrière Jayet 70 ha passé) et fournir au passage, l'A6 en construction. Alors Messieurs, expliquez-moi pourquoi vous avez décapé la Montagne de Verre, alors que cette carrière n'en couvre péniblement qu'un tiers. Pourquoi avoir autorisé le décapage des tumulus alors que l'exploitation actuelle se trouve à une distance respectable encore du lieu où ces tumulus se trouvaient?

Pourqoi, sinon pour détruire volontairement une preuve qui gênait une théorie et pouvait en confirmer une autre. Pour l'A6, je pense que l'on aurait pu facilement trouver à se fournir ailleurs.

La Montagne de Verre se situe à l'ouest du lieu de vie, du Montfault, dans le symbole celtique, l'ouest c'est la mort (couché du soleil), L'est la naissance ou renaissance (levée du soleil). C'est l'une des explications sur les occupants des sépultures celtes, ils sont tous enterrés tête à l'est. .............                     guillon-alesia-019-1.jpgEntrée de l'oppidum vue de Courterolles

Page 25-26

En 1967, après avoir rasé la "Montagne de Verre", les bulldozers ont attaqué vaillamment Montfault, mais là, pas touche mon bonhomme!!!

Un homme était présent, Paul Moscovino qui travaillait en collaboration avec René Louis, ayant obtenu un droit de fouilles d'André Malraux en personne, Ministre de la Culture, car ces "salopards" dans leur besoin de destruction et d'élimination de preuves ont commencé à donner de grand coup de lames au milieu de ce qui était un village mésolithique (10 000-5000 avant JC); Le dédé est intervenu à la demande du Paul et a fait "gelé" le site pour 100 ans. Ce qui fait que ce village qui est constitué de trous dans le sol est toujours là. Les traces de bulldozers aussi parfaitement visibles.

guillon2-011-1.jpg                                                             Emplacement du village Mésolithique

Ce qui fait qu'aujourd'hui aux Antiquités de Bourgogne, quand on demande une ouverture de fouilles, on répond: "A oui, mais on ne peut pas, c'est gelé pour 100 ans!" Ben voyons! .................

Pages 28-29

Toujours Michel Reddé aux pages 59 et 60 de son livre "l'Armée Romaine en Gaule" édité en 1996: " l'un comme l'autre système (de fortification) rencontrés sur le terrain différent sensiblement de la description de César. EN outre, on a retrouvé des "tribuli" (piéges de fer présentant quatre pointes) alors que César n'évoque pas leur utilisation".

Dans le bilan scientifique de l'année 1994, édité en 1995 par la DRAC de Bourgogne, Michel Reddé mentionne a la page 19 que la "CLAVICULA" découverte au camp C (Montagne de Bussy) correspond à un usage de défense de l'époque Flavienne (Soit 70 de notre ère, c'est à dire 122 ans après le siège d'Alésia). Ce Monsieur passe son temps à se contredire puisque écrit plus avant, il annonçait le 11 mai 1996, aux journées archéologiques de Bourgogne, à la faculté de Dijon que les dernières fouilles en cours confirmaient la réalité du siège du Mont Auxois. Mais comme il le dit également, les archéologues redressent les erreurs de descriptions de César (dis le Jules quant il écrivait, tu es sur qu'il ne se tapait pas des pétards. Non!? Parce que ça pourrait expliquer de tels écarts entre ces écrits et les découvertes?!)

                                                                            guillon-alesia-015.jpgEntée d'une nécropole rappelant les Tholos de Mycènes. Ce qui m'a été confirmé depuis par un archéologue Italien spécialiste de cette époque.

Jules César p 323/88 Ed FOLIO: " le carnage est grand. SEDULLUS, chef militaire des Lémovices et leur premier citoyen est tué." Il se pourrait que sur la Petite Craie (IGN 28210 S.B.Noyers) l'une des deux cadoles en pierre sèche se trouvant là, soit la tombe de ce chef gaulois, la plus petite comportant une meurtrière sur le devant,guillon-alesia-001-2.jpg vous pouvez y pénétrer (tout comme je l'ai fait). Vous pouvez y tenir debout dedans, vous pourrez y admirer une superbe voûte en encorbellement. C'est probablement de là que les romains, à l'aide d'un SCORPION, l'ont tué.

 

 

 

 

 

 

Emplacement du scorpion

 

guillon-alesia-014-2.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tombe de Sedullus

 

scorpion-et-petite-porte-001-1.jpg


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                             Intégralité et suite dans le livre

         Alésia Retrouvé  La Bataille Continue: de Serge Barnoud

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